J’ai décidé de vous parler d’un sujet intime et très personnel. Sa découverte a été pour moi une étape très importante de ma vie et pas seulement dans ma vie sexuelle. Il porte en lui un message fort, celui de l’ouverture d’esprit, de la connaissance de soi et du réconfort. Il s'agit du plaisir en solitaire.
Qui ne se s’est jamais bercé du bout des doigts avant de dormir pour passer une bonne nuit ?
Avant de vous inviter à me suivre dans la narration de cette incroyable découverte, faisons un rapide passage par les motivations profondes qui m’animent (et pour une fois, il n’y a pas de jeux de mots)
Je n’ai pas la prétention de vous apprendre comment atteindre l’orgasme, je souhaite cependant partager mon expérience, c’est ma façon personnelle de me rebeller envers l’hypocrisie et l’obscurantisme d’une partie de la société qui me font sortir de mes gonds. J’aurais aussi aimé lire ce genre d’articles, à certains moments de ma vie, pour me sentir moins seule.
Sans plus tarder, après cette introduction un brin moralisatrice, place au divertissement et à la détente !
En matière de plaisir solitaire, je n’ai été élevée ni dans l’incitation, ni dans l’interdiction, on pourrait presque dire que je suis née avec une petite cuillère en argent dans la bouche (ou avec autre chose ailleurs).
Premier constat, je n’ai jamais été une fille sportive. Si on devait donner une note de zéro à dix à mes exploits scolaires, on se retrouverait très vite avec un score négatif digne d’une période glacière (je me suis depuis bien rattrapée grâce à la pole dance). Par contre en ce qui concerne la course à l’orgasme là, je suis sûre de faire fondre la calotte glacière.
Et oui avec le recul je me rends compte que je pourrais comparer ma quête de l’orgasme à un sport. J’ai commencé jeune, mes entraînements ont été réguliers, très sérieux pour atteindre le geste technique parfait, ce qui m’a demandé un énorme travail de concentration.
Je ne me souviens pas de l’âge de mon premier orgasme, mais j’ai commencé à explorer mon corps très tôt (et ça fait un bail).
Je n’avais pas réalisé que ces moments de plaisir solitaire étaient potentiellement des orgasmes jusqu'à mes premiers rapports sexuels où j’ai pu retrouver des sensations identiques.
Ce fut un peu une surprise, on ne crie pas à réveiller les voisins et pas besoin de se tortiller dans tous les sens, il suffit juste de se concentrer et de faire comme à la répet ?
J’ai bien sûr eu beaucoup de temps pour m’entrainer en solo avant de passer au duo (pas de trio ou plus, je suis plutôt sage finalement... ou alors très jalouse… ?!).
Je n’atteins mon objectif que dans une certaine position, allongée sur le ventre, jambes serrées et tendues (parfois jusqu’à avoir des crampes) en me titillant le clitoris du bout du doigt. Comme je suis une fainéante, une fois le truc trouvé je ne l’ai pas lâché, jouir alors toute seule dans d’autres positions est devenu difficile. Par contre au fil des ‘entraînements’ les performances se sont améliorées et j’ai été capable d’arriver à mes fins en un rien de temps. Pratique pour s’endormir quand je n’ai pas sommeil (comme un homme ?!).
Me masturber ne m’a jamais poser de problème éthique. Je fais ça toute seule dans l’intimité, je ne dérange personne et cela n’est pas non plus devenu un besoin compulsif, alors pourquoi refuser de se faire du bien ?
C’est vrai quoi, on devrait tous pouvoir aller à la salle de sport pour faire son petit training personnel sans voir peur du regard des autres.
Là j’avoue c’est mon talon d’Achille. Il arrive que la sprinteuse que je suis se fasse un claquage dû au stress de la vie et soit obligée de déclarer forfait de temps à autre. Sous tant de pression je suis une vraie reloue, fini les orgasmes. Vous comprenez maintenant pourquoi j’attends toujours les vacances avec impatiente !
Une fois la position rituelle adoptée, les mots d’ordre sont concentration et imagination.
Cette concentration sur une zone particulière de mon corps est un peu le secret de tous mes orgasmes seule ou à deux. C’est un peu comme si je me projetais quelques secondes dans le futur pour y imaginer des sensations plus intenses, et plus je ne pense qu’à cette partie de mon anatomie, plus c’est agréable, et plus cela le devient.
Il m’est parfois arrivé d’avoir un blues si profond qu’il était nécessaire de recourir à des solutions plus radicales, comme l’utilisation d’un sex toy, voire d’improviser une séance de cinéma X sur mon lit avec le visionnage de films, dans le seul but de raviver mon désir.
Après chacun sa méthode...
Voilà maintenant c’est à vous devous entraîner jouer, ad libitum et de prendre votre plaisir en main doigt. Je vous demanderais bien de me raconter en commentaire comment vous, vous faites mais je ne voudrais pas m’immiscer de manière déplacée dans votre jardin secret, cependant si vous vous sentez prête à en parler ...
XX (Plein d’espoir sur vos auto-succès sensuels à venir (to cum))
Review "Ne dis pas que tu aimes ça"
Une sexualité durable en couple.
L'envie du moment.
Mots clés : Plaisir Solitaire Orgasme Sexualité Pole Dance
Qui ne se s’est jamais bercé du bout des doigts avant de dormir pour passer une bonne nuit ?
Découverte du plaisir solitaire.
Pourquoi cet article ?
Il s’inscrit dans une démarche féministe, être libre de disposer de son corps de la façon qui convient à chacune. Je n’apprécie pas l’apologie de l’orgasme à tout prix qui donne, à juste titre, des complexes à certaines, ni à l’inverse les privations de liberté qui conduisent à une méconnaissance de son propre corps, une absence de plaisir légitime et au manque de confiance en soi.L’orgasme, il n’y pas que ça dans la vie, mais si on en a envie, il n’y a pas de raison d’en être privé.
Je n’ai pas la prétention de vous apprendre comment atteindre l’orgasme, je souhaite cependant partager mon expérience, c’est ma façon personnelle de me rebeller envers l’hypocrisie et l’obscurantisme d’une partie de la société qui me font sortir de mes gonds. J’aurais aussi aimé lire ce genre d’articles, à certains moments de ma vie, pour me sentir moins seule.
Sans plus tarder, après cette introduction un brin moralisatrice, place au divertissement et à la détente !
A vos doigts, prêtes, restez !
Premier constat, je n’ai jamais été une fille sportive. Si on devait donner une note de zéro à dix à mes exploits scolaires, on se retrouverait très vite avec un score négatif digne d’une période glacière (je me suis depuis bien rattrapée grâce à la pole dance). Par contre en ce qui concerne la course à l’orgasme là, je suis sûre de faire fondre la calotte glacière.
Et oui avec le recul je me rends compte que je pourrais comparer ma quête de l’orgasme à un sport. J’ai commencé jeune, mes entraînements ont été réguliers, très sérieux pour atteindre le geste technique parfait, ce qui m’a demandé un énorme travail de concentration.
Je ne me souviens pas de l’âge de mon premier orgasme, mais j’ai commencé à explorer mon corps très tôt (et ça fait un bail).
Je n’avais pas réalisé que ces moments de plaisir solitaire étaient potentiellement des orgasmes jusqu'à mes premiers rapports sexuels où j’ai pu retrouver des sensations identiques.
Alors c’était donc ça ?
L’entrainement, il n’y a que ça de vrai !
Je n’atteins mon objectif que dans une certaine position, allongée sur le ventre, jambes serrées et tendues (parfois jusqu’à avoir des crampes) en me titillant le clitoris du bout du doigt. Comme je suis une fainéante, une fois le truc trouvé je ne l’ai pas lâché, jouir alors toute seule dans d’autres positions est devenu difficile. Par contre au fil des ‘entraînements’ les performances se sont améliorées et j’ai été capable d’arriver à mes fins en un rien de temps. Pratique pour s’endormir quand je n’ai pas sommeil (comme un homme ?!).
Ma méthode secrète : je m’entraine et voici comment.
Et si on se moquait des conventions ?
C’est vrai quoi, on devrait tous pouvoir aller à la salle de sport pour faire son petit training personnel sans voir peur du regard des autres.
Et si on se détendait ?
Et si on passait à l’action ?
Tu as dit quoi déjà ? Ah oui concentration !
Parfois, je n’ai pas besoin de me faire de film sexy dans la tête, me concentrée sur l’intensité de mon plaisir suffit. En gros, je me focalise sur la sensation que me procurent mes doigts sur mon clito, le plaisir augmente, jusqu’à la conclusion sensuelle.Cette concentration sur une zone particulière de mon corps est un peu le secret de tous mes orgasmes seule ou à deux. C’est un peu comme si je me projetais quelques secondes dans le futur pour y imaginer des sensations plus intenses, et plus je ne pense qu’à cette partie de mon anatomie, plus c’est agréable, et plus cela le devient.
Avoir de l’imagination !
Je ne suis pas une fille qui fantasme sur une personne en particulier (exit le BO GOSS ;) à la mode). Non, c’est peut être étrange mais ce qui me fait vraiment vibrer ce sont les scenari que j’imagine. L’homme (ou la femme parfois) n’a pas vraiment de visage, je me focalise sur des lieux, des situations qui m’inspirent ou encore certaines parties du corps de mon partenaire fictif que je me permets de sublimer à mon goût (et pourtant A2MV est parfait).Et si on s’aidait un peu ?
Après chacun sa méthode...
Voilà maintenant c’est à vous de
XX (Plein d’espoir sur vos auto-succès sensuels à venir (to cum))
Review "Ne dis pas que tu aimes ça"
Une sexualité durable en couple.
L'envie du moment.
Mots clés : Plaisir Solitaire Orgasme Sexualité Pole Dance